des planches à la ville
Nota : mon champ de vision ne couvre qu'un quart des convives en présence...
Décors pliés, il est temps de se retrouver autour d'un verre pour célébrer les 25% de représentations déjà effectuées de "Je veux voir Mioussov". Trop nombreux pour le Teddy's, trop affamés pour la Montagne (dont les remarquables frites ne sont servies que jusqu'à 23h), trop impétueux pour le Café des arts (sans commentaire), nous avons trouvé refuge à la lumière tamisée du Contrescarpe. Si vous y allez, prenez garde à ménager la susceptibilité des garçons, assez chatouilleux sur la terminologie bistrotière (donnez-leur donc du gargotier pour voir...) mais bons bougres au demeurant. Ah, et prévoyez tout de même la bourse en conséquence, l'endroit a tout du "club", des fauteuils aux sandwichs en passant par les toilettes, un must du genre.
Pour la petite histoire, en sortant sur les coups de 3h, on a emboîté le pas a un groupe d'étudiants allemands qui se servaient d'un cône de signalisation comme d'une corne de brume... Ils ne l'avaient pas sitôt posé que nous les avons imités, pour se voir interpellés cinq minutes plus tard par deux poulagas sans chaussettes à clous, moralisateurs et jeunes malgré ça. Les finances sont sauves, seul l'ego en a pris un coup.
Décors pliés, il est temps de se retrouver autour d'un verre pour célébrer les 25% de représentations déjà effectuées de "Je veux voir Mioussov". Trop nombreux pour le Teddy's, trop affamés pour la Montagne (dont les remarquables frites ne sont servies que jusqu'à 23h), trop impétueux pour le Café des arts (sans commentaire), nous avons trouvé refuge à la lumière tamisée du Contrescarpe. Si vous y allez, prenez garde à ménager la susceptibilité des garçons, assez chatouilleux sur la terminologie bistrotière (donnez-leur donc du gargotier pour voir...) mais bons bougres au demeurant. Ah, et prévoyez tout de même la bourse en conséquence, l'endroit a tout du "club", des fauteuils aux sandwichs en passant par les toilettes, un must du genre.Pour la petite histoire, en sortant sur les coups de 3h, on a emboîté le pas a un groupe d'étudiants allemands qui se servaient d'un cône de signalisation comme d'une corne de brume... Ils ne l'avaient pas sitôt posé que nous les avons imités, pour se voir interpellés cinq minutes plus tard par deux poulagas sans chaussettes à clous, moralisateurs et jeunes malgré ça. Les finances sont sauves, seul l'ego en a pris un coup.